Bogota

Vous allez rire j’ai oublié ce que je voulais écrire sur Bogota… mais ça va peut-être me revenir…
Nous passons en effet quelques jours dans cette ville avant de repartir pour le Chili, à Santiago.

Grâce au système de « minutos », nous commençons par contacter (et oui en espagnol au téléphone!) Carlos, que nous avons rencontré à Nabusimake. Pour ceux qui se demandent, le « minutos » c’est des gens qui « louent » leur téléphone portable. On en trouve partout, dans un magasin de téléphone mais aussi dans une boulangerie, un café ou au milieu de la rue. Je ne sais pas si ça existe ailleurs mais c’est super pratique !
Malheureusement Carlos est encore en déplacement. Nous partons donc direct dans le centre historique en bus et trouvons facilement un logement. So far so good !

Info pratique: Facile de téléphoner en Colombie, il suffit de chercher les panneaux « minutos » et on vous prête un mobile en échange de quelques pesos.

Je profite de ces quelques jours à la capitale pour refaire un peu de pole et mes muscles m’en veulent dès la fin du premier cours. Des courbatures jusque dans les muscles des orteils ! Mais je ne m’en plains pas trop (enfin ce n’est sûrement pas ce que dirait Christophe…), c’était vraiment super.

Comme souvent nous profitons aussi de notre séjour dans une grande ville pour nous offrir de bonnes douches chaudes et faire du shopping.
Ne rêvons pas trop, je ne parle pas de shopping où je reviens avec 5 sacs de fringues. Bien que j’avais bien envie vu tous les vêtements sympas dans les magasins.
Nous regardons plutôt les chaussures, les notres n’étant pas loin de la fin, et achetons un masque tuba pour notre visite prochaine aux iles du pacifique.

fresque bogota

Art de rue à Bogota, le mur des chats. Regardez bien l’artiste a réussi à faire disparaître totalement le poteau électrique dans son tableau.

Les quartiers sont par thème, nous passons rapidement du quartier des statues religieuses, au quartier militaire, au quartier de l’or… Comme un vieux souvenir de la conquête espagnole…
Mais nous passons aussi un peu plus tard dans d’autres quartiers comme celui des coiffeurs ou bien sûr des magasins de sport.

Un homme passant rapidement à côté de nous murmure « cocaïne ? ». A t-on bien compris ou est ce notre imagination ? Ça zone, on n’est pas complètement rassurés dans les rues de Bogotá la nuit. Mais on utilise la technique Brésilienne, choisir notre chemin en fonction du nombre de personnes dans la rue. Plus il y a du monde mieux c’est.

Pour les transports, on récupère une carte de transport Transmilenio auprès d’un flic sans vraiment le faire exprès.
On comprendra jamais vraiment comment fonctionnent les transports ici. Mais tant pis on a au moins réussi à s’en servir pour les trajets qu’on a eu à faire.
Il est en plus assez facile de se retrouver dans la ville.
Celle ci est quadrillée et on retrouve des « calle » dans un sens et des « carrera » dans l’autre. Rien de plus simple que de trouver des adresses de type « calle 12 – carrera 56 ».

En activité touristique, nous allons visiter le musée Botero et montons sur la colline Montserate juste à côté de l’hôtel.

 

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